FALCONE.GALLERY

Suivant son père dans son atelier, il peignait des œuvres sur le même thème que son père mais de façon totalement différente. À 4 ans, Louis vendait déjà ses toiles, il a vendu une quinzaine de petites toiles sur le thème des vaches, alors qu’il était à peine haut comme trois pommes. Falcone n’a jamais été forcé à créer ou à venir à l’atelier de son père. Bien au contraire, son père a toujours voulu lui faire prendre conscience que le métier d’artiste est un métier difficile.

À 20 ans, Louis expose au niveau régional à l’Art3F à Mulhouse et à START à Strasbourg. Et aujourd’hui il expose dans l’ensemble de l’hexagone afin d’exporter son talent à l’international (Bâle, Lausanne).

Même si certaines sculptures nous font un « fuck » et d’autres nous mitraillent, Falcone ne cherche pas à se démarquer par la provocation, il n’est ni antisocial ni anticonformiste. Sa première sculpture s’appelle « Lucky », elle représente son chat fermant les yeux et baissant ses oreilles. Si pour l’instant l’acte de créer passe par le travail de la matière, par le relief : Falcone risque fort de déployer très largement ses ailes lorsqu’il aura fini ses études et qu’il pourra se lancer complètement et se consacrer exclusivement à son art pour ainsi envisager de nouvelles choses, de nouvelles techniques.